Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?

5 novembre 2020 à 19h21min, par Chloé LAROSE

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# Le 5 novembre 2020 à 19:21, par Chloé LAROSE En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?

Quels sont les enjeux scientifiques à résoudre au Bénin ? Et quels sont les enjeux éducatifs ?

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# Le 16 mars 2021 à 12:19, par Gatien En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?
Comme tous les autres pays en voie de développement, le Bénin est confronté à plusieurs enjeux et défis qui hypothèquent son évolution socio-économique.
Entre autres, un horizon est explorable pour contribuer à amorcer le développement dans sa durabilité : il s’agit de l’électrification des milieux ruraux. Ceci pourra, dans une approche systémique, permettre de relever certains défis connexes dont :

l’accès à l’eau d’une manière très pratique et rapide à travers l’installation des pompes solaires ;
l’éclairage à travers l’installation des lampadaires ;
la modernisation du secteur agricole à travers la mise en place de plusieurs dispositifs techniques agricole nécessitant de l’énergie électrique ou de l’informatique

Le Bénin pourra connaitre un grand changement en ce qui concerne le développement économique si on arrivait à électrifier ces zones qui en ont besoin pour avoir plus de rentabilité juste en utilisant les nouvelles technologies.
Dans cette même logique de développement, nous envisageons la création d’un centre de recherche bien équipé permettant aux jeunes passionnés de la nouvelle technologie d’être en mesure de commencer par innover, de construire des machines et de prendre toute autre initiative technologique contribuant au développement du pays.

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# Le 16 novembre 2020 à 17:09, par Abdel En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?
Le Bénin compte plus de 11,5 millions d’habitants, dont près de 49 °/0 vivent en-dessous du seuil de pauvreté. Malgré sa stabilité politique, le Bénin reste l’un des pays les moins avancés d’Afrique. Sa population est jeune, et c’est un pays avec beaucoup de potentiel dans la région : ressources agricoles et touristiques importantes, pays proche des grands marchés du Nigéria et de l’arrière-pays et centre de transit important. L’éducation est un droit humain pour tous et est capitale pour le bon développement et l’avancée économique.
Les enjeux éducatifs et scientifiques et de développement du Bénin tournent aujourd’hui autour des orientations du Plan Décennal de Développement du Secteur de l’éducation. Ces orientations générales portent sur les axes suivants :
- le renforcement du pilotage du système basé sur le développement des capacités de planification, de gestion, d’évaluation permanente du système et de programmation des recrutements ;
- le renforcement de la qualité de l’enseignement et des apprentissages ;
- L’amélioration de l’offre éducative ;
- la résorption des disparités entre genres et entre régions ;
- l’accroissement du rôle du secteur privé et de celui des communautés locales dans l’offre éducative qui sera recherché par la mise en place d’une politique de promotion adéquate ;
- l’amélioration du dialogue social avec les partenaires sociaux pour favoriser des années scolaires paisibles et laborieuses, garantie d’un temps scolaire propice pour une acquisition de connaissances et de compétences suffisantes.
- Construction des salles de classe parce que les salles de classe font souvent cruellement défaut, les cours sont donnés en sureffectifs (certains dépassent les 100 élèves), les classes sont très hétérogènes et de fortes inégalités régionales rendent l’uniformité éducative impossible dans le pays ;

Renforcer le système et le dispositif de formation initiale et continue des acteurs du secteurs, en passant par les personnels administratifs , les enseignants et le personnel d’orientation ;
Augmenter les capacités d’accueil, diversifier les programmes de formation et améliorer les performances de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle ;
Développer une offre de formation professionnelle adaptée aux besoins du développement économique, en partenariat avec le secteur privé ;
Manque énorme des matériels pour effectuer des stages pratiques dans le domaine de la recherche scientifique.
les enseignants sont sous-payés, À cela s’ajoute une très grande précarité des enseignants : toujours dans le secondaire, 95% sont vacataires et gagnent moins par heure enseignée. Les 5% restants étant répartis entre des agents permanents de l’État (APE) – qui disposent d’une formation pédagogique certifiée – et des agents contractuels de l’État (ACE). La majorité d’entre eux ne dispose donc que de peu ou pas de formation pédagogique, souffre d’une insuffisance de matériel didactique et de difficultés voire absence d’accès aux moyens numériques (2,7 ordinateurs et 4,9 connexions Internet pour 100 habitants)………etc
# Le 8 février 2021 à 13:28, par TOHOUE En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?

À l’échelle du territoire béninois, nous retrouvons les enjeux socio-économiques et environnementaux liés au contexte énergétique africain, notamment pour les pays de ce continent qui ne disposent pas de sources d’énergie fossiles. Plus de 99% de l’énergie électrique consommée au Bénin provient de l’approvisionnement extérieur – Ghana, Nigeria, Côte d’Ivoire –, ce qui fragilise sensiblement son économie. L’offre de l’énergie électrique au Bénin ne pouvant pas satisfaire toute la demande malgré l’apport extérieur, la population a massivement recours au bois-énergie, qui représente 59,4% de sa consommation finale d’énergie. Il y a donc un enjeu environnemental majeur qui résulte de la pression constante sur les ressources forestières. La faible production énergétique au Bénin est également source d’inégalités d’accès majeures. Le taux d’électrification en milieu rural était de 5% en 2013 contre 56,5% en milieu urbain, alors même que 60% des ménages vivent encore en milieu rural. À Cotonou, capitale économique du pays, 90% des entreprises ont accès à l’énergie électrique. En revanche, l’accès aux services énergétiques de base (chaleur nécessaire à la cuisson, éclairage, communication, réfrigération, etc.) reste encore particulièrement difficile en zone rurale. Les infrastructures lacunaires et de mauvaise qualité, voire inexistantes en dehors des grandes villes, sont la cause principale de ce nombre de ménages « non branchés » considérable. Mais, au Bénin comme dans beaucoup de pays africains, il faut compter en outre avec un nombre non négligeable de « mal branchés », ou accédant à une fourniture d’électricité dont la qualité est aléatoire et régulièrement défaillante. Les ménages installés en ville, y compris dans les plus grandes d’entre elles, doivent ainsi faire face à des coupures récurrentes et inopinées, des grandes variations de tension ou encore des pratiques de corruption ou de facturation fantaisiste. Ces problèmes, et l’incapacité de l’État à y faire face au sein du réseau public, constituent un terreau favorable pour le développement de branchements illégaux. Le Bénin se caractérise de ce fait par un ensemble de situations fort diverses du point de vue de l’accès à l’électricité. Ce dernier apparaît comme un cas assez emblématique du relatif échec d’une politique publique d’accès à l’électricité centralisée, largement copiée sur le « modèle » des pays du Nord, et s’appuyant sur le financement d’infrastructures et la mise en place d’un « service public » pour la gestion du réseau.L’ état paraît encore loin de pouvoir répondre à la diversité des besoins. En milieu rural, le choix du solaire semble d’abord motivé par l’absence de l’énergie électrique conventionnelle, comme le montre, par exemple, le cas d’un agriculteur installé dans la périphérie de la ville de Natitingou (à 650 km de la capitale économique du Bénin).
Le caractère central de cet aspect financier est fréquemment renforcé par le fait que la population fait dans la majorité des cas le choix d’avoir recours au marché informel des équipements solaires, à un coût assez faible, mais sans garantie de fiabilité des équipements.
En revanche, pour les ménages en milieu urbain, l’accès au réseau conventionnel est souvent plus développé, et les motivations principales à l’endroit de l’énergie solaire semblent alors principalement liées aux dysfonctionnements et aux coupures de ce réseau.Les coupures quotidiennes, pratiquement tous les jours, abîment les appareils alors qu’il n’y a pas de répondant, aucune assurance sur les appareils. Le deuxième motif de ce choix au recours à l’énergie solaire, c’est l’impossibilité d’anticiper la consommation énergétique sur les factures qu’on reçoit car certaines factures apparaissent fantaisistes.
Avec des revenus plus élevés qu’en milieu rural, les ménages urbains peuvent, en outre, s’équiper avec du matériel solaire certifié, et contourner avec plus d’efficacité encore les pratiques de délestage et de tarification irrationnelle de la SBEE.
Dans un contexte de fortes attentes sociales et de rareté des équipements solaires disponibles, il faut également souligner l’influence réelle, positive (attractivité d’un accès à moindre coût à l’électricité) ou négative (manque de fiabilité des équipements achetés dans le secteur informel), qu’exercent les ménages déjà équipés à l’égard des populations désireuses d’accéder à l’électricité, en milieu rural particulièrement. Il faut noter que la préoccupation environnementale n’est évoquée par aucun des ménages, ce qui n’est guère surprenant dans la mesure où la priorité de la population est d’avoir accès en quantité suffisante à l’énergie électrique, quel que soit le moyen utilisé pour cela.
Dès lors,le chômage des jeunes
les 15-34 ans représentent 60 % de la population active au Bénin. Selon les données officielles, le taux de chômage de cette tranche d’âge s’élève à peine à 4 %. Un chiffre déconnecté de la réalité dans un pays où le secteur informel concentre 85 % de l’économie, et où de nombreux diplômés finissent par devenir « zemidjans » (taxi-moto) faute de trouver un emploi dans leur spécialité.Les enjeux éducatifs ont été déjà énoncés par Monsieur DJIBRIL Abdel-Afiz .
# Le 27 février 2021 à 13:20, par ADEGNANDJOU En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?

Nombreux sont les enjeux auxquels le Bénin est confronté. Nous pouvons cités entre autre les enjeux socio économique, les enjeux énergétiques etc.
S’agissant des enjeux socios économiques, le Bénin peine à decoller car au plan social le panier de la ménagère connait des difficultés. Aujourd’hui la ration alimentaire connait beaucoup de difficultés chez chaque Béninois.
Quand aux enjeux énergétiques, beaucoup d’effort sont faits à travers quelques réalisations d’infrastructures et des achats d’équipements. Mais toujours est il que beaucoup reste encore à faire.
# Le 27 février 2021 à 16:46, par HOUNVENOU En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?

La promotion de la famille et de l’égalité entre les genres fait partie des Objectifs phares de Développement Durable (ODD). Depuis la conférence internationale sur la population du Caire de 1994, les pays ont entrepris d’importantes actions stratégiques (politiques, programmes et projets) en vue d’assurer le bien-être familial et l’égalité des rapports sociaux de genre, tant, en zone urbaine que rurale. La scolarisation et la santé de la reproduction des adolescents et jeunes (SRAJ) constituent, à cet effet, des enjeux prioritaires. Souvent considérées comme déterminants importants du bien-être socioéconomique, la scolarisation et la santé de la reproduction, notamment, celle des adolescents et jeunes, influencent les comportements sociodémographiques (Barou, 2017 ; Bougma, 2014 ; Burnett, 2005 ; Delauney, 1996) et déterminent la structure par âge de la population (Delauney, 1996) ainsi que l’activité économique, l’investissement et la tendance de la pauvreté (Ebersold et Detraux, 2013).
# Le 27 février 2021 à 22:30, par KOUTCHADE En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?
Les enjeux sientifique à résoudre au Bénin :

favoriser la disponibilité de l’eau potable dans les zones les plus reculer et dans tout le pays en général ;
favoriser la disponibilité de l’énergie électrique dans les zones le plus reculé et dans tout le pays en général
renforcer le système d’encadrement des agriculteurs
# Le 1er mars 2021 à 00:55, par Gatien En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?

Comme tout autres pays de l’Afrique le Bénin est confronté à plusieurs enjeux qui freinent son développement.
Entre tous ces enjeux, il y a un enjeu qui peut permettre de régler une bonne partie des autres ; il s’agit de l’enjeu concernant l’électrification en milieux rural. La résolution de ce dernier pourra permettre de résoudre un bon nombre des autres enjeux comme l’accès à l’eau d’une manière très pratique et rapide à travers l’installation des pompes solaires, l’éclairage à travers l’installation des lampadaires et la modernisation du secteur agricole à travers la mise en place de plusieurs dispositifs techniques agricole nécessitant de l’énergie électrique ou de l’informatique ; d’où la nouvelle technologie.
Le Bénin pourra connaitre un grand changement en ce qui concerne le développement économique si on arrivait à électrifier ces zones qui en ont besoin pour avoir plus de rentabilité juste en utilisant les nouvelles technologies.

Toujours concernant le développement, il faut l’installation d’un centre de recherche bien équipé permettant aux jeunes passionnés de la nouvelle technologie d’être en mesure de commencer par inventer et construire des machines et tout autre chose contribuant au développement du pays.
# Le 5 mars 2021 à 23:14, par rachad En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?

L’inclusion numérique est un véritable défi que les Etats africains surtout, doivent parvenir à relever. Ceci contribuerait à réduire les inégalités sociales permanentes, notamment relativement aux couches défavorisées telles que les femmes, les communautés rurales. La pandémie du Covid-19 qui secoue actuellement le monde doit être perçue comme un appel à la nécessité de promouvoir un accès large et intégré du numérique au profit des catégories marginalisées. La COVID-19 a par exemple limité les accès aux espaces d’enseignements et d’apprentissage. Or l’enseignement et la formation sont déterminants dans les perspectives de développement économique et humain et de compétitivité internationale d’un pays. Le miracle économique asiatique nous a en effet appris que le niveau d’études est le facteur le plus important pour expliquer la forte croissance économique enregistrée au cours des dernières décennies.
Par ailleurs, la pandémie du COVID-19 et le verrouillage augmentent aussi le taux de violence sexiste à l’égard des filles. Cet état de choses ne permet pas d’aider la population, surtout les enfants, à mieux participer au processus de développement et à améliorer les conditions de vie dans tous les domaines, surtout au plan sanitaire en cette période de crise sanitaire. L’analphabétisme entraine ainsi l’expansion de cette pandémie. Avec une population plus jeune (65,5% de moins de 25 ans), la COVID-19 a beaucoup influencé le travail des jeunes dans nos communautés au Bénin.

Selon l’UIT, de plus en plus de personnes se retrouvent souvent exclues de la révolution numérique. La numérisation au Bénin entraîne le développement d’infrastructures d’accès à Internet, de systèmes de résilience et une qualité de service de plus en plus exigeante. Cependant, beaucoup reste à faire et le défi est celui de la mise en place de politiques permettant au plus grand nombre d’accéder à l’Internet d’une part et, d’autre part, de créer les conditions favorables à son utilisation au service du développement social humain. Plusieurs milliers d’agriculteurs n’ont pas un meilleur accès aux services à large bande et aux solutions numériques dans les zones rurales. Ayant un impact sur tous les secteurs de la société, l’internet sera ce que les citoyens décideront d’en faire, et c’est pourquoi ils doivent connaître l’histoire de l’internet afin de pouvoir s’impliquer dans tous les processus visant à concevoir, mettre en œuvre, suivre et évaluer les politiques dans ce domaine pour faire entendre leur voix et influencer les choix et les orientations.
Outre la promotion des droits de l’homme, le fonctionnement technique d’Internet est une source de nuisance pour les droits de l’homme. Les questions relatives aux droits de l’homme et à la vie privée sur l’internet sont très préoccupantes. Au Bénin, la cybercriminalité augmente de jour en jour malgré l’adoption de plusieurs lois telles que la loi sur le numérique. Le défi reste l’engagement de faire connaître ses lois à tous et aussi de combler le fossé entre l’adoption des lois et leur mise en œuvre par des politiques appropriées.

De nombreuses personnes ne se rendent pas compte qu’elles peuvent lutter contre le changement climatique et contribuer à un avenir plus durable. Il est choquant de constater que les effets du changement climatique augmentent de façon spectaculaire. Le changement climatique modifie la productivité des écosystèmes marins et a un impact sur la pêche, alors que la demande de poisson destinée à la consommation humaine augmente. 90 % des pêcheries mondiales sont exploitées au maximum ou surexploitées selon la FAO. Au Bénin, les pêcheurs se plaignent souvent qu’il n’y a plus de poissons. C’est en partie la faute des navires qui ramassent tout au large. Pour lutter contre cette pêche illicite, l’association locale EcoBénin a fait appel à l’ONG Sea Shepherd. Mais beaucoup reste à faire, il faut que nous nous engagions plus en faveur de la conservation de la biodiversité : soit en impliquant les populations locales dans la gestion durable des écosystèmes terrestres comme marins, soit en formant des autorités légalement responsables ou soit en partageant les informations.
# Le 16 mars 2021 à 12:19, par Gatien En réponse à : Quels sont les enjeux scientifiques et/ou éducatifs à résoudre sur le pays ?
Comme tous les autres pays en voie de développement, le Bénin est confronté à plusieurs enjeux et défis qui hypothèquent son évolution socio-économique.
Entre autres, un horizon est explorable pour contribuer à amorcer le développement dans sa durabilité : il s’agit de l’électrification des milieux ruraux. Ceci pourra, dans une approche systémique, permettre de relever certains défis connexes dont :

l’accès à l’eau d’une manière très pratique et rapide à travers l’installation des pompes solaires ;
l’éclairage à travers l’installation des lampadaires ;
la modernisation du secteur agricole à travers la mise en place de plusieurs dispositifs techniques agricole nécessitant de l’énergie électrique ou de l’informatique

Le Bénin pourra connaitre un grand changement en ce qui concerne le développement économique si on arrivait à électrifier ces zones qui en ont besoin pour avoir plus de rentabilité juste en utilisant les nouvelles technologies.
Dans cette même logique de développement, nous envisageons la création d’un centre de recherche bien équipé permettant aux jeunes passionnés de la nouvelle technologie d’être en mesure de commencer par innover, de construire des machines et de prendre toute autre initiative technologique contribuant au développement du pays.

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