Sciences Participatives au services des Politiques Gouvernementales pour les ODD

Le célèbre sommet de Rio a eu lieu en 1992. La même année, sur les rives du lac Léman, Thomas EGLI organise le tout premier programme de sciences participatives Sciences Participatives Les http://www.vacances-scientifiques.com/-Liste-des-Sejours-.html. . Dix ans plus tard, il crée les premiers voyages de recherche participative au service des ODD. L’ONG Objectif Sciences International a obtenu le statut consultatif spécial auprès de l’ECOSOC en 2011, et a continué à se développer en étant présente sur tous les continents et en soutenant les citoyens dans la création de leurs propres solutions.

La recherche participative consiste en de véritables projets de recherche menés par des jeunes ou des adultes non scientifiques. Tout le monde peut devenir bénévole scientifique, quelles que soient ses connaissances ou ses compétences. Nos éducateurs scientifiques formés, des scientifiques utilisant des outils éducatifs développés par OSI, aident les volontaires à acquérir les compétences nécessaires pour prendre part à leur projet de recherche participative (implication, autonomisation et habilitation). L’éducation scientifique, le raisonnement scientifique et la (re)connexion avec la nature sont des moyens incroyables de permettre aux individus d’assumer la responsabilité du développement durable de notre planète.

La montée des extrémismes et l’inadéquation de la réponse de la société aux défis environnementaux actuels démontrent l’importance d’aider les citoyens d’aujourd’hui et de demain à acquérir l’esprit critique que procure la pratique de la science. Mais juste met aussi un accent particulier sur la prise de responsabilité et le développement de l’autonomie, afin de permettre aux citoyens, qu’ils soient jeunes ou adultes, d’être les acteurs et les leaders du changement qu’ils souhaitent voir s’accomplir.

Les sciences participatives Sciences Participatives Les http://www.vacances-scientifiques.com/-Liste-des-Sejours-.html. ont la capacité de faciliter et de renforcer les politiques gouvernementales en faveur des objectifs de développement durable. En effet, le projet de recherche qui est décidé pour identifier les détails d’un problème à résoudre est mené avec les citoyens concernés. Cette approche ascendante de l’implication des communautés peut s’appliquer à tous les sujets (biodiversité, alimentation, conditions de vie des femmes et des enfants, énergies renouvelables, et bien d’autres). En effet, lorsqu’une politique gouvernementale est définie, les citoyens sont, d’une part, déjà engagés dans la décision, puisqu’ils en sont les co-auteurs, et d’autre part, ils ont acquis une meilleure compréhension de la question. La mise en œuvre de la politique est donc doublement facilitée. De plus, elle est soutenue dans le temps par les générations et a un impact à long terme.

Cependant, les avantages des sciences participatives Sciences Participatives Les http://www.vacances-scientifiques.com/-Liste-des-Sejours-.html. vont bien au-delà (responsabilité, inclusion sociale, adaptabilité...). Ils peuvent être mis en œuvre de nombreuses manières différentes, et leur pouvoir éducatif et scientifique peut apporter une contribution majeure au développement durable et à la paix dans le monde.

Toutes les agences et tous les programmes des Nations unies peuvent être directement concernés. De l’UNESCO au PNUD, en passant par UN Women, UNICEF, Desert, Habitat, UNHCR et toutes les autres organisations, sans oublier les services internes de l’ONU, absolument tous les types d’objectifs peuvent bénéficier grandement des sciences participatives pour atteindre leurs buts plus efficacement.

Avantages des Sciences Participatives pour les Gouvernements : Interview de M. Thomas EGLI, Fondateur d’Objectif Sciences International, par la Télévision Nationale Suisse.


Avantages des sciences participatives et de la recherche participative pour les politiques gouvernementales dans le cadre des ODD, en quelques points.

Engagement de la communauté : Les communautés locales sont impliquées dans le processus de recherche, ce qui favorise l’appropriation et la compréhension des questions de durabilité.

Perspectives holistiques : S’appuie sur des connaissances et des perspectives locales diverses, garantissant que les politiques s’alignent sur les défis et les solutions du monde réel.

Précision des données : exploiter les données générées par les citoyens, améliorer la couverture et la précision des données pour une prise de décision éclairée.

Innovation : Encourage la résolution créative des problèmes et la cocréation de solutions, en promouvant de nouvelles approches pour atteindre des objectifs durables.

Renforcement des capacités : Permet aux communautés d’acquérir des compétences scientifiques, ce qui renforce leur capacité à contribuer aux décisions politiques et à les comprendre.

Approche ascendante : Donne la priorité aux initiatives de la base, ce qui permet d’élaborer des politiques qui reflètent véritablement les besoins de la population.

Responsabilité : Accroît la transparence et la responsabilité, car les politiques sont plus susceptibles de s’aligner sur les attentes et les aspirations du public.

Inclusion sociale : Réduit les disparités en impliquant les groupes marginalisés, ce qui conduit à des politiques qui traitent de l’équité et de l’inclusion.

Education par la pédagogie de projet : les acquisitions de connaissances, de méthodes et de compétences, sont reconnues comme plusieurs fois meilleures grâce à ce format d’apprentissage par la pratique placé au service de la communauté.

Adaptabilité : Permet aux politiques d’évoluer rapidement en intégrant des données en temps réel et des stratégies adaptatives basées sur les conditions locales.

Impact à long terme : Favorise un engagement durable en faveur des pratiques durables, car les communautés s’investissent dans le succès des politiques qu’elles ont contribué à élaborer.

Navigation